Institut français
d’archéologie orientale du Caire

IFAO

Catalogue des publications

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Les articles des volumes suivants sont vendus sous forme de PDF à télécharger: BiEtud: numéros 110, 120, 138, 140, 165 (gratuit), EtudUrb: 9.


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BIFAO112_art_02.pdf (0.16 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
4 p.
gratuit - free of charge
Paul Barguet (1915-2012).

L'article est librement téléchargable: Bifao112_art_02.pdf

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BIFAO112_art_01.pdf (0.23 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
6 p.
gratuit - free of charge
Jean Leclant (1920-2011).

L'article est librement téléchargable: Bifao112_art_01.pdf

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BIFAO111_art_21.pdf (0.78 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
14 p.
gratuit - free of charge
New Funerary Stelae from Kom Abou Bellou.

Cet article est la publication de onze stèles funéraires inédites mises au jour sur le site de Kôm Abou Billou, en bordure du delta Occidental, au cours d’une campagne de fouilles de sauvetage effectuée par les auteurs en 2006-2007. Aujourd’hui déposées dans les magasins de Giza, leur publication contribue à l’augmentation du corpus des documents funéraires d’époque romaine.

Mots-clés : stèles funéraires – Kôm Abou Billou – époque gréco-romaine – delta Occidental.

This paper deals with eleven unpublished stelae unearthed at the archaeological site of Kom Abou Bellou, in the Western Delta. Uncovered during rescue excavations conducted by the authors during 2006-2007, these stelae are now kept in the Giza Pyramid Museum magazine. The publication of this material increases the corpus of funerary documents from the Roman Period.

Keywords: funerary stelae – Kom Abou Bellou – Graeco-Roman Period – Western Delta.

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BIFAO111_art_20.pdf (0.51 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
9 p.
gratuit - free of charge
Une mystérieuse route sud-orientale sous le règne de Ramsès III.

La récente découverte, annoncée par la Commission saoudienne pour le tourisme et les antiquités, d’une inscription rupestre de Ramsès III près de l’oasis de Tayma, en Arabie Saoudite, éclaire d’un jour nouveau le développement des routes d’échanges au début de la XXe dynastie. Ce marquage – deux cartouches du roi accompagnés d’une épithète – est similaire à deux autres inscriptions de ce roi repérées dans le Sinaï et le Sud-Neguev. Ce sont autant de jalons d’une route qui passait également par le poste-frontière de Tjékou (Tell ar-Retabah), où Ramsès III fit réaliser d’importants travaux d’agrandissement. L’ensemble de ces données confirme l’image qui se dessinait déjà dans P.Harris I : celle d’un regain considérable des activités d’échanges sur les routes sud-orientales sous le règne de ce roi. On ignorait cependant, jusqu’à la découverte de l’inscription de Tayma, que les Égyptiens s’étaient aventurés aussi loin de leurs bases. Peut-être faut-il y voir une tentative précoce d’adaptation aux changements dans la configuration régionale des échanges qui débutent alors.

Mots-clés : échanges – Sinaï – péninsule Arabe – frontières – Ramsès III – inscriptions rupestres.

The recent discovery by the Saudi Commission for Tourism and Antiquities of a rock inscription belonging to Ramesses III near the oasis of Tayma in Saudi Arabia, sheds new light on the development of trade routes at the beginning of the 20 th Dynasty. These markings consist of two cartouches depicting the king accompanied by an epithet. It is similar to two other inscriptions of Ramesses III found in the Sinaï and South-Neguev. These inscriptions were landmarks placed on a road that also went through the border-post of Tjeku (Tell el-Retabah), where Ramesses III undertook extensive building works. The complete set of data confirms what is already understood from P.Harris I, namely that there was a significant renewal of trade activities on the south-oriental roads during the reign of Ramesses III. However, until the discovery of the Tayma inscription, the acknowledgement that the Egyptians ventured so far, tended to be ignored. This activity is perhaps to be considered as an early endeavour by the Egyptians to adapt themselves to changes in regional trade configuration, which began during this period.

Keywords: trade routes – Sinai – Arabian Peninsula – borders – Ramesses III – rock inscriptions.

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BIFAO111_art_19.pdf (1.3 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
26 p.
gratuit - free of charge
La chapelle d’Osiris (L/XIII) dans le temple de Ramsès II à Abydos.

Éclipsé par le grand temple de Sethy Ier, le temple de Ramsès II à Abydos mérite pourtant attention. Le présent article se veut compléter la publication des chapelles de ce temple faite ces dernières années. La chapelle d’Osiris (L/XIII) se situe au fond de la deuxième salle hypostyle, du côté nord. Formant un complexe avec la salle de l’Ennéade (L/XIV), elle présente un plan rectangulaire avec un banc occupant toute la largeur de la paroi du fond. Les scènes sont, dans leur majorité, plutôt bien conservées. Le motif mythologique représentant les quatre fils d’Horus émergeant du lotus offert à Osiris par Ramsès II est exceptionnel. Le décor de la chapelle illustre dans son ensemble le statut de Ramsès II comme fils-héritier.

Mots-clés : Abydos (chapelle L/XIII) – Chentayt – Ennéade – Heqet – Horus – Osiris-Ramsès II – Sethy Ier – temple.

Eclipsed by the great temple of Sety I, the temple of Ramesses II at Abydos however merits some attention. This paper focuses on the chapel of Osiris (L/XIII), located in the end of the second hypostyle hall on the north side and represents a continuation of work done on other chapels of the temple, which was conducted over the last couple of years. Forming a complex with the Ennead hall (L/XIV), the chapel has a rectangular plan at the end of which was erected a bench across the full width of the room. Many of the wall scenes are well preserved and can be considered exceptional. These include the mythological symbol of the four sons of Horus emerging from a lotus as an offering to Osiris. Furthermore, the special status as the successor-son of Ramesses II is confirmed within this chapel.

Keywords: Abydos (chapel L/XIII) – Shentayt – Ennead – Heqet – Horus – Osiris-Ramesses II – Sety I – temple.

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BIFAO111_art_18.pdf (0.62 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
12 p.
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Two Royal Statue Bases from Karnak in the Basement of the Egyptian Museum in Cairo.

Les deux bases de statues royales présentement étudiées se trouvent dans les sous-sols du Musée égyptien du Caire. Inédites jusqu’alors, elles n’ont pas été enregistrées dans le Journal d’entrée. Malgré l’absence d’informations à leur sujet, elles proviennent vraisemblablement du temple de Karnak, sans doute de la Cachette de Karnak. Elles étaient en effet conservées dans une boîte qui contenait des fragments d’autres statues provenant du temple de Karnak.

La première base appartient à une statue debout de la reine Moutemouia, la seconde à une statue debout de Toutânkhamon.

Mots-clés : Cachette de Karnak – Moutemouia – Toutânkhamon – représentation des sandales dans la statuaire – caractéristiques stylistiques de la XVIIIe dynastie.

The two royal statue bases to be discussed in this article are in the basement of the Cairo Museum. They have never been published before and do not have registration numbers. Although there is no information on their provenance, they probably originate from Karnak Temple, from the Karnak Cachette. This assumption is based on the fact that they were stored within a box with other statue fragments from Karnak Temple.

The first base is belonging to a standing statue of Queen Mutemwia. The second base is belonging to a standing statue of Tutankhamun.

Keywords: Karnak Cachette – Mutemwia – Tutankhamun – the representation of sandals in statues – style of the 18 th Dynasty.

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BIFAO111_art_17.pdf (0.39 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
21 p.
gratuit - free of charge
Statut, revenus et fiscalité des édifices de bain en Égypte. 1. Époque ptolémaïque.

Malgré une documentation importante, le statut (privé/public) des édifices et les différentes taxations portant sur les bains de l’Égypte ptolémaïque n’ont jamais été établis clairement. Les papyrus montrent pourtant que la plupart des bains ouverts au public (contre paiement d’un modeste droit d’entrée) étaient de propriété privée. L’État a ainsi laissé aux particuliers l’initiative économique de la construction et la gestion des nombreux bains d’Égypte. Le succès prodigieux du phénomène balnéaire en Égypte ptolémaïque apparaît explicitement dans les déclarations fiscales faites par les propriétaires de bain ; leurs revenus attestent en effet une fréquentation très importante (jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de clients par an dans les bains de Bousiris de l’Hérakléopolite au IIIe s. av. J.-C.).

Conscient sans doute de la manne économique représentée par l’activité balnéaire, l’État lagide n’a pas manqué de taxer cette activité lucrative : en taxant tout d’abord les propriétaires, sous la forme de l’impôt du tiers (τρίτη) ; en faisant peser ensuite une taxation spécifique (nommée βαλανείου ou βαλανείων) sur les gérants de bain, proportionnelle, sans doute, à leurs revenus.

Mots-clés : bains – époque hellénistique et romaine – statut privé/public – revenus – fréquentation – taxation.

Despite the amount of comprehensive documentation available, the varying taxation rates on private and public baths in Ptolemaic Egypt have never been clearly established. However, the papyri do indicate that most of the baths open to the public were privately owned and took a modest entrance fee. The state left it to the individual bath-house owners as to how they managed and maintained their establishments in Egypt. The prodigious success of the bathing phenomenon in Ptolemaic Egypt appears explicitly in the tax returns they made. Indeed, their incomes provide evidence for very large attendance, up to several tens of thousands of customers per year in the baths of Busiris in the Herakleopolite nome during the third century B.C.

Undoubtedly aware of the significant income collected by the bath-houses, the Ptolemaic state did tax this lucrative business in two ways: firstly, by taxing owners with the “tax of the third” (τρίτη); secondly, by imposing a special tax (named βαλανείου or βαλανείων) on bath-house managers, probably proportional to their income.

Keywords: baths – Hellenistic and Roman Period – private/public status – incomes – bath attendance – taxation.

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BIFAO111_art_16.pdf (1.1 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
19 p.
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Un nouveau relief du grand intendant de Memphis, Ipy, et le temple de Ptah du terrain-bʿḥ.

Publication d’un fragment de relief provenant de la tombe d’Ipy (époque Toutânkhamon-Horemheb) qui reste à redécouvrir à Saqqâra. L’étude se compose comme suit : traduction et analyse des inscriptions ; discussion à propos du temple de Ptah du terrain-bʿḥ et de la question des deux tombes d’Ipy ; étude stylistique et datation du relief ainsi que des stèles provenant de sa tombe de Saqqâra.

Mots-clés : Amarna – Amenhotep III (époque de) – Amenhotep-Houy (père d’Ipy) – Aÿ (époque de) – critères de datation – flabellifère à la droite du roi – flabellum – grand intendant de Memphis – « handkerchief » – Horemheb (tombe de Saqqâra) – Ipy (localisation des tombes) – Mâya (directeur du trésor) – Memphis – Nahouher (frère de Mâya) – or de la récompense – période post-amarnienne – perruques et vêtements – porteurs d’offrandes – Ptah (en-dehors d’Inébou, à côté de Memphis) – Saqqâra – techniques de sculpture – temples funéraires royaux de Memphis – Toutânkhamon (époque de, caractéristiques stylistiques) – TT 136.

Publication of a decorated block from Ipy’s tomb (temp. Tutankhamun-Horemhab). The tomb is located in Saqqara; however, its whereabouts is currently unknown. This study includes translation and analysis of the inscriptions; discussion of the Ptah Temple of the bʿḥ-land; consideration of the location of Ipy’s two tombs; stylistic analysis and dating of the block and Ipy’s tomb stelae from Saqqara.

Keywords: Amarna – Amenhotep III (time of) – Amenhotep Huy (father of Ipy) – Ay (time of) – ­carving techniques – dating criteria – Fan-bearer to the Right of the King – flabellum – Gold of Honour – “handkerchief” – High Steward of Memphis – Horemhab (Saqqara tomb of) – Ipy (location of tombs) – Maya (Overseer of the Treasury) – Memphis – Nahuher (brother of Maya) – offering bearers – Post-Amarna Period – Ptah (outside of Inebu, near Memphis) – Memphite royal mortuary temples – Saqqara – TT 136 – Tutankhamun (time of, stylistic features) – wigs and garments.

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BIFAO111_art_15.pdf (0.89 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
24 p.
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Le matériel funéraire de Sésostris Ier conservé au Musée égyptien du Caire.

Les vestiges du matériel funéraire du pharaon Sésostris Ier (XIIe dynastie) ont été mis au jour sur le site de sa pyramide à el-Licht en 1883 par le raïs de Gaston Maspero. Bien que constituant les uniques exemplaires de ce type de matériel royal entre les règnes de Montouhotep II (XIe dynastie) et Aouibrê Hor (XIIIe dynastie), les bouchons et vases canopes, ainsi que quatre récipients zoomorphes en calcite et deux feuillets en or martelé n’avaient été jusqu’ici que brièvement mentionnés, notamment dans le CGC. Le présent article se propose donc de faire la lumière sur cet ensemble exceptionnel méconnu et de le replacer dans son contexte de production artistique.

Mots-clés : Sésostris Ier – canopes – matériel funéraire royal – récipients zoomorphes.

The remains of the funerary equipment of Pharaoh Senwosret I (12 th Dynasty) were unearthed at the site of his pyramid at el-Lisht in 1883 by the raïs (chief workman) working for Gaston Maspero. This assemblage represents the only known examples of royal funerary material from the reigns of Mentuhotep II (11 th Dynasty) to Awibrē Hor (13 th Dynasty). Up until now, the four zoomorphic calcite containers (the canopic jars) and two sheets of hammered gold and their stoppers have only been shortly discussed in the literature. This paper will shed light on this exceptional but ignored ensemble and investigate artistic production in context with the individual pieces.

Keywords: Senwosret I – canopic jars – royal funerary material – zoomorphic containers.

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BIFAO111_art_14.pdf (0.39 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
14 p.
gratuit - free of charge
Histoires sans paroles (P.Deir al-Medîna 45, 46, 47).

L’article étudie trois petits papyrus magiques de Deir al-Medîna (P.Deir al-Medîna 45, 46, 47), qui ne comportent pas de texte, mais uniquement des représentations. Le premier d’entre eux est d’époque ramesside, et les deux autres datent de la XXV-XXVIe dynastie. Ils révèlent une nette évolution dans le style des représentations : le premier (45) peut être considéré comme la mise en image d’une formule magique, mais les deux autres témoignent d’une élaboration théologique plus sophistiquée. Tous les trois ont recours à la même procédure magique : la captation d’une force magique redoutable au bénéfice du patient, Seth dans le premier cas, le soleil à son lever et à son coucher dans les deux autres. L’importance de la puissance solaire est soulignée par l’utilisation de divinités polycéphales, le bélier « quadrifons » ou Bès dit « panthée ».

Mots-clés : magie égyptienne – papyrus magiques – représentations magiques – divinités apotropaïques – Bes « panthée » – bélier « quadrifrons ».

Three small magical papyri from Deir al-Medîna (P.Deir al-Medîna 45, 46, 47) are presented in this article; all contain representations, with no text. The first one, number 45 is from the Ramesside Period and the other two belong to the 25-26 th Dynasties. There is a clear evolution in the representations of these papyri: number 45 may be considered as an illustration of magical formulas; however, the latter two convey a more sophisticated theological approach. All three use the same procedure in that they convey a dangerous force for the benefit of the patient; specifically Seth in the first case and the rising or setting sun in the others where the power of the sun is suggested by multi headed divinities such as a four head ram or Bes “pantheos.”

Keywords: Egyptian magic – magical papyrus – magical representations – apotropaic divinities – Bes “pantheos” – four head ram.