Institut français
d’archéologie orientale du Caire

IFAO

Catalogue des publications

Fichiers à télécharger

Les articles des volumes suivants sont vendus sous forme de PDF à télécharger: BiEtud: numéros 110, 120, 138, 140, 165 (gratuit), EtudUrb: 9.


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AnIsl052_art_05.pdf (0.5 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Annales islamologiques 52
2019 IFAO
22 p.
gratuit - free of charge
Qirāʾa fī tarikat baṭriyark qibṭī min al-qarn al-sābiʿ ʿašr

This article is an attempt to place the history of the Copts into a broader context, that of Ottoman history and shows that Coptic history is closely linked to Egyptian history. Based on two sharia court cases, we can explain not only the period of transformation in Coptic history but also the history of Egypt at the end of the 16th century, which completed at the middle of 17th century. On the other hand, the article shows how the sources of the courts can be supplemented with Coptic sources, and that to better understand the 17th century, it would be necessary to use both of these sources. The two court cases studied here are only comprehensible when Coptic sources are taken into consideration.


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Extrait pdf de l’ouvrage :
Annales islamologiques 52
2019 IFAO
26 p.
gratuit - free of charge
Le christianisme oriental au sud du Sinaï vu au prisme des graffiti arabo-chrétiens (IXe-XIe siècle)

Cet article s’inscrit dans le domaine de la graffitologie et livre l’étude d’un corpus ­encore largement méconnu. Répertoriés entre 2001 et 2005 par la mission japonaise au Sinaï (Dir. M. Kawatoko), les graffiti arabes chrétiens présents en grand nombre dans le sud de la péninsule n’avaient, cependant, jamais livré leurs contenus. L’étude des sources du point de vue des formulaires, de l’onomastique et de la paléographie ainsi que la contextualisation historique et épigraphique apportent un éclairage sur l’histoire du christianisme oriental dans la région. L’exploitation des données permet en outre d’esquisser le profil de ces pèlerins chrétiens convergeant vers le Mont Sinaï et informe sur la fréquentation des routes aux époques abbassides et fatimides.

This article is inscribed in the field of graffitology and it presents the study of a corpus which still largely unknown. Collected by the Japanese mission in Sinai (Dir. M. Kawatoko) between 2001 and 2005, the Christian Arab graffiti present in large numbers in the south of the peninsula, had never delivered their contents. The study of these sources, from the point of view of forms, onomastics and paleography, as well as historical and epigraphic contextualization, shed a light on the history of Eastern Christianity in the region. The exploitation of the data makes it possible to outline the profile of these Christian pilgrims converging on Mount Sinai and informs about the frequentation of the roads at the Abbasid and Fatimid times.


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AnIsl052_art_03.pdf (0.8 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Annales islamologiques 52
2019 IFAO
36 p.
gratuit - free of charge
L’Église melkite au IXe siècle à travers le conflit entre David de Damas et Siméon d’Antioche. Apports d’un dossier documentaire inédit

Cet article présente un dossier inédit de documents concernant les chrétiens de Damas à la fin du ixe siècle. Conservés au moyen de leur copie dans deux manuscrits tous deux datables approximativement du xe-xie siècle, ces neuf documents rédigés en arabe ont été produits à l’occasion d’un conflit au sein de l’Église melkite de Syrie en 277/890‑891. Il ressort de l’analyse que David, évêque métropolitain de Damas, a lui-même réuni ces documents à charge contre son adversaire Siméon, patriarche d’Antioche. La plainte de David de Damas aux deux autres patriarches, Élie de Jérusalem et Michel ­d’Alexandrie, contre Siméon d’Antioche, est éditée et traduite en français en annexe de l’article.

La plainte de l’évêque, les réponses et avis juridiques émis par les deux patriarches, la lettre des habitants d’Antioche (ahl Anṭākiya) et, enfin, un jugement antérieur du patriarche Théodose d’Antioche, apportent de précieuses informations sur la hiérarchie ecclésiastique melkite contemporaine et donnent un aperçu du fonctionnement de la justice ecclésiastique et de l’utilisation du droit canonique. Le conflit implique aussi des laïcs chrétiens et musulmans de Damas, autour de l’administration des revenus et des propriétés de l’Église, dont une boulangerie (furn al‑kanīsa). Le pouvoir toulounide figure en arrière-plan d’un conflit essentiellement géré par les autorités ecclésiastiques de l’espace syro‑égyptien.

This paper presents an unpublished dossier of documents related to the Christians of Damascus in the late 9th century. Preserved through their copy in two manuscripts ­datable to the 10th or 11th century, these nine documents written in Arabic were issued on the ­occasion of a conflict that happened among the Melkite Church in Syria in 277/890‑891. The ­documents prove to have been gathered by David the metropolitan bishop of Damascus, against his adversary Simeon the patriarch of Antioch. The complaint of David of Damascus against Simeon of Antioch, addressed to the two other patriarchs, Elias of Jerusalem and Michael of Alexandria, is edited and translated into French as an appendix to this article.

The complaint of the bishop, the answers and legal opinions expressed by the two patriarchs, along with the letter of the people of Antioch (ahl Anṭākiya) and an earlier sentence of the patriarch Theodosius of Antioch, shed light on the Melkite ecclesiastical hierarchy of the time and give new insights into how the ecclesiastical justice was working and the canon law was used. The conflict also implies Christian and Muslim laymen of Damascus about the administration of the Church income and properties, among which a bakery (furn al-kanīsa). The Tulunid power remains in the background of a conflict which is mainly handled by the ecclesiastical authorities of the Syro‑Egyptian area.

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AnIsl052_art_02.pdf (0.8 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Annales islamologiques 52
2019 IFAO
34 p.
gratuit - free of charge
Les ʿammē « en Ǧazīra et en Occident ». Genèse et fixation d’un ethnonyme standardisé pour les tribus arabes chrétiennes. Les Tanūkōyē, Ṭūʿōyē, ʿAqūlōyē à l’âge marwanide

Lorsque la littérature syro‑occidentale désigne des Arabes chrétiens (ṭayyōyē krisṭyōnē), elle emploie souvent une expression ternaire à l’ordre variable : « les Tanūkōyē, ʿAqūlōyē et Ṭūʿōyē ». Ces populations (ʿammē) ont joué un rôle important lors de la IIe guerre civile (60‑72/680-692) au sein de l’Église syro‑orthodoxe alors que celle-ci commence à envisager l’altérité musulmane. C’est à ce moment qu’un évêché homonyme est attesté, notamment sous l’autorité de Georges (m. 105/724), un des principaux intellectuels de son temps. Ces peuples semblent avoir ­résidé en « Occident » (le ǧund de Qinnasrīn en formation) et dans la partie post-romaine de la Haute-Mésopotamie (la Ǧazīra) à l’époque omeyyade. Si les Tanūḫ (Tanūkōyē) sont bien identifiés comme une collectivité irakienne partiellement installée en Syrie du Nord, la période de cette migration, traditionnellement placée à l’époque proto‑byzantine, reste indéterminée. Les deux autres termes sont plus obscurs : les ʿAqūlōyē se rapportent aux habitants du ressort d’al‑Kūfa, l’expression étant presque assurément post-hégirienne, tandis que les Ṭūʿōyē correspondraient à d’ancien groupes de la même région. Nous faisons l’hypothèse que le déplacement de ces ʿammē irakiens désignés par cet ethnonyme ternaire standardisé (qui ne sont pas des tribus au sens du nasab arabe) vers l’espace syrien découle d’une politique de transferts sous le califat de Muʿāwiya (m. 60/680). C’est sans doute dans ce contexte qu’ils auraient été affiliés à la nomenclature épiscopale miaphysite, à une époque où il était possible de participer au mouvement des croyants tout en s’intégrant à l’Église d’Antioche.

When Western Syriac literature designates the Christian Arabs (ṭayyōyē krisṭyōnē), it is ­often through a ternary expression, the « Tanūkōyē, ʿAqūlōyē and Ṭūʿōyē », in variable order. These people (ʿammē) played a very significant role during the second civil war (60‑72/680-692) within the Syriac Orthodox Church, as it is starting to consider the Muslim alterity. At this ­specific time, a homonym bishopric is attested, especially under Georges’ authority (d. 105/724), one of the main intellectuals of this time. These populations seem to have lived in « the Occident » (then forming the ǧund of Qinnasrīn) and in the post-Roman Upper Mesopotamia (the Ǧazīra) during the Umayyad period. The Tanūḫ (Tanūkōyē) are defined as an Iraqi community partially settled in northern Syria, but the period of this migration, traditionally dated to the proto-Byzantine era, is still indeterminate. The two other words are less clear: the ʿAqūlōyē are related to the people of al‑Kūfa (the expression is almost certainly post‑Hiǧra) while the Ṭūʿōyē would correspond to ancient groups from the same area. Our hypothesis is that the moving of these Iraqi ʿammē, designated by this ternary standardized ethnonym (they are not tribes in the sense of arabic nasab) to the Syrian space results from a transfer policy under Muʿāwiya (d. 60/680). It is most likely in this context that they might have been affiliated to the episcopal miaphysit nomenclature, at a time where it was possible to participate in the Believers’ movement while including one’s self in the Antiochene Church.


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AnIsl052_art_01.pdf (0.3 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Annales islamologiques 52
2019 IFAO
8 p.
gratuit - free of charge
Introduction. Chrétiens du monde arabe. Vers une pluralité des sources et des approches


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BIFAO118_art_18.pdf (9.4 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 118
2019 IFAO
55 p.
52 (2600 EGP)

Nouvelles recherches sur le site de Gourob. Des fouilles du XIXe siècle aux résultats de la campagne 2017

Entre 1888 et 1920, le site de Gourob, à l’entrée sud du Fayoum, a fait l’objet de quatre campagnes de fouilles, ainsi que d’actions plus ponctuelles, qui ont permis de mettre au jour les principales composantes du Nouvel Empire, à savoir une ville, un « harem », des lieux d’artisanat, des nécropoles, ainsi qu’un « fort ». Le Gurob Harem Palace Project (mission anglo-danoise) a ensuite repris le travail sur le site jusqu’en 2015.

Depuis 2016, Gourob est un chantier de l’Ifao et les résultats de la campagne 2017 sont ici présentés. L’une des principales nouvelles problématiques développées dans ce cadre est celle de la présence d’un port dans l’Antiquité, bien attesté dans la documentation textuelle. C’est en ce sens que des prospections géophysiques et géoarchéologiques ont été menées à l’est du site, avec des résultats particulièrement engageants. L’étude archéologique s’est quant à elle concentrée sur la zone au nord-est du palais-harem, qui n’avait pas fait l’objet de fouilles depuis 1920, et principalement sur un bâtiment appelé « fort » par les anciens fouilleurs, datant selon eux de la Première Période intermédiaire. Les sondages effectués dans les parties nord et est de cette structure ont permis de formuler des hypothèses préliminaires quant à sa fonction, sa datation et son lien avec la rampe qui coupe son flanc est. Ces observations demanderont à être vérifiées lors des prochaines saisons.

Between 1888 and 1920, the site of Gurob, located at the south entrance of the Fayum area, was the subject of four campaigns of archaeological excavations, as well as some more specific actions. This led to the discovery of the main New Kingdom component, i.e. the town, a “harim,” an industrial area, several necropolises and a “fort.” The Gurob Harem Palace Project (British-Danish team) then carried out work between 2005 and 2015.

Since 2016, Gurob is an IFAO fieldwork and the results of the campaign 2017 are presented herein. One of the main new issues developed within this framework is the presence of a harbor during Antiquity, well attested in the textual documentation. Geophysical and geoarchaeological surveys have been led in this sense along the eastern edge of the site, with particularly promising results. The archaeological study focused on the area north-east of the harim-palace, which has not been excavated since 1920, and mainly on a building called “fort” by the former excavators, who dated it back to the First Intermediate Period. The trench dug in the northern and eastern sectors of this structure allowed a preliminary hypothesis to be presented concerning its function, its dating and its link with the ramp cutting through its eastern side. These observations prompt verification during the next seasons.


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BiGen056.pdf (52 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque générale 56
ISBN 9782724708233
2019 IFAO
169 p.
19 (950 EGP)

Études de documents hiératiques inédits
Les ostraca de Deir el-Medina en regard des productions de la Vallée des Rois et du Ramesseum. Travaux de la première Académie hiératique – Ifao (27 septembre – 1er octobre 2015).

L’Académie hiératique, fondée en 2015, entend former annuellement de jeunes chercheurs à l’édition des textes hiératiques. Elle s’appuie sur le fonds des ostraca littéraires de Deir el-Medina conservés à l’Institut français d’archéologie orientale (Ifao) du Caire, dans lequel des pièces inédites sont sélectionnées en vue de leur étude et de leur publication par les étudiants. Chaque année, un thème spécifique est choisi, qui devient le fil conducteur du travail conduit durant l’atelier de formation. Ce volume rassemble les contributions des 6 participants de la première académie hiératique, qui s’est tenue à l’Ifao du 27 septembre au 1er octobre 2015. Centré autour du titre Ṯȝy-ḫw, « flabellifère », il permet d’aborder les rapports entre Deir el-Medina et les autres centres de production de textes hiératiques littéraires de la rive gauche de Thèbes au Nouvel Empire. Ces contributions sont introduites par les articles de Chr. Barbotin, d’A. Dorn et de St. Polis, experts invités pour encadrer les élèves lors cette première session de l’académie. Ils y livrent les résultats de leurs travaux sur des documents hiératiques inédits utilisés comme support méthodologique durant la formation.

The Académie hiératique, created in 2015, was set up to train young researchers in the publication of hieratic texts. Based on the literary ostraca fund of Deir el-Medina kept at the IFAO (Institut français d’archéologie orientale), in Cairo, some unpublished texts of which were selected to be studied and published by the students. Each year a specific theme is chosen which becomes the connecting thread of work to be carried out by this workshop. This volume assembles the contributions of the 6 participants of the first Académie hiératique held at the IFAO from September 27th to October 1st, 2015. Keeping in view the title Ṯȝy-ḫw (« fan bearer »), it allows an approach of relationships between Deir el-Medina and the other centres on the left bank of Thebes in the New Kingdom where literary texts were produced and found. The introduction to these contributions combines articles by Chr. Barbotin, A. Dorn and St. Polis, who were all three invited as experts to coach the students during the first session of the Academy. These contributions present the results of their work on the unpublished hieratic documents used as a methological support throughout the training.


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MIFAO133.pdf (347 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Mémoires publiés par les membres de l’Institut français d’archéologie orientale 133
ISBN 9782724708257
2016 IFAO
88 p.
39 (1950 EGP)

La Chapelle d’Hathor. Temple d’Hatchepsout à Deir el-Bahari. II – Facade et salles hypostyles. Planches

La chapelle d’Hathor constitue l’un des trois sanctuaires divins érigés par Hatchepsout au sein de son temple funéraire de Deir el-Bahari. Au sein de ce monument, la nature féminine de la reine permet à Hatchepsout de nouer des liens uniques avec la déesse et de réaliser son destin funéraire de façon exceptionnelle : si Hatchepsout se place sous la protection divine d’Hathor, dans une perspective pharaonique traditionnelle, comme son fils Horus, le détenteur du pouvoir royal légitime, elle apparaît aussi comme la fille d’Hathor. Nourrie du lait vivifiant de la déesse qui est elle-même fille de Rê et son uraeus, la reine se dresse à son tour en uraeus solaire. Hatchepsout, en même temps roi et reine, tisse ainsi un complexe réseau théologique qui lui permet de devenir à la fois Horus, fils de Rê et disque solaire, et Hathor-Maât, uraeus au front de ce même disque. Le volume II présente la façade et les deux salles hypostyles en avant des sanctuaires. Ce fascicule de planches offre les photographies et dessins des scènes pariétales et des inscriptions sur les piliers, colonnes et architraves. Un livret de figures présente une sélection de photographies de détails. Un lien vers un PDF interactif est fourni afin de permettre au lecteur d’agrandir à volonté les planches.

The Hathor shrine is one of the three divine shrines erected by Hatsheput in her mortuary temple of Deir-el-Bahari. In this monument, the queen’s feminine nature allows Hatshepsut to establish a unique relationship with the goddess and to complete her funerary destiny in an exceptional manner: if Hatshepsut places herself under Hathor’s divine protection in a traditional pharaonic perspective, as her son Horus, holder of the legitimate royal power, she also appears as the daughter of Hathor. Nourished by the invigorating milk of the goddess who is herself daughter of Re and his uraeus, the queen, in turn, raises as the solar uraeus. Hatshepsut, as both king and queen, weaves a complex theological network that allows her to become both Horus, son of Rê and sun disk, and Hathor-Maât, uraeus of this same disc. Volume II concerns the facade and the two hypostyle halls leading to the sanctuaries. It offers plates of photographs and drawings of all the preserved scenes and inscriptions. A booklet presents selected detailed photographs. A link enables the reader to download an interactive PDF and enlarge at will the plates.


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MIFAO129.pdf (0 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Mémoires publiés par les membres de l’Institut français d’archéologie orientale 129
ISBN 9782724708240
2016 IFAO
444 p.
66 (3300 EGP)

La chapelle d'Hathor - Temple d'Hatchepsout à Deir el-Bahari I.
Fasc 1 : Textes ; Fasc. 2 : Figures ; Fasc. 3 : Planches

La chapelle d'Hathor constitue l'un des trois sanctuaires divins érigés par Hatchepsout au sein de son temple funéraire de Deir el-Bahari. Au sein de ce monument, la nature féminine de la reine permet à Hatchepsout de nouer des liens uniques avec la déesse et de réaliser son destin funéraire de façon exceptionnelle : si Hatchepsout se place sous la protection divine d'Hathor, dans une perspective pharaonique traditionnelle, comme son fils Horus, le détenteur du pouvoir royal légitime, elle apparaît aussi comme la fille d'Hathor. Nourrie du lait vivifiant de la déesse qui est elle-même fille de Rê et son uræus, la reine se dresse à son tour en uræus solaire. Hatchepsout, en même temps roi et reine, tisse ainsi un complexe réseau théologique qui lui permet de devenir à la fois Horus, fils de Rê et disque solaire, et Hathor-Maât, uræus au front de ce même disque. Le volume I présente le vestibule, le sanctuaire de la barque et le sanctuaire. Il se divise en trois parties : un premier fascicule de Texte élabore une analyse permettant l'interprétation du monument, un second fascicule de Figures présente une sélection de photographies de détails et un troisième fascicule donne 67 Planches de photographies et dessins des scènes. Des études thématiques sur les représentations et mentions de rois, de dieux, de mobilier et d'offrandes, sans oublier les évocations de Senmout, complètent cette synthèse. Un DVD permet au lecteur d'agrandir à volonté les planches de photographies et de dessins des scènes.

The Hathor shrine is one of the three divine shrines erected by Hatshepsut in her mortuary temple of Deir el-Bahari. In this monument, the queen's feminine nature allows Hatshepsut to establish a unique relationship with the goddess and to complete her funerary destiny in an exceptional manner: if Hatshepsut places herself under Hathor's divine protection in a traditional pharaonic perspective, as her son Horus, holder of the legitimate royal power, she also appears as the daughter of Hathor. Nourished by the invigorating milk of the goddess who is herself daughter of Re and his uræus, the queen, in turn, raises as the solar uræus. Hatshepsut, as both king and queen, weaves a complex theological network that allows her to become both Horus, son of Re and sun disc, and Hathor-Maât, uræus of this same disc. Volume I concerns the vestibule, the bark shrine and the sanctuary. It is divided into three parts : a first part, Text, provides an analysis and interpretation of the monument, while a second part, Figures, presents selected detailed photographs, and a third part offers 67 Plates of the scenes photographs and drawings. Thematic studies on representations of kings, gods, furniture and offerings, not to mention evocations of Senmout, complete this synthesis. A DVD enables the reader to enlarge at will the plates of the photographs and drawings of the scenes.


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EtudUrb009_vol_04.pdf (28.8 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Études urbaines 9
2014 IFAO
292 p.
25 (1250 EGP)

25 siècles de bain collectif en Orient, Proche-Orient, Egypte et péninsule Arabique. Volume 4.