🔗 Institut français d’archéologie orientale (IFAO) 🔗 Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) 🔗 Travaux et recherches archéologiques sur les cultures, les espaces et les sociétés (TRACES, CNRS, UMR 5608)
🔗 Institut français d’archéologie orientale (IFAO)
Nathalie Buchez (INRAP) Samuel Guérin (INRAP)
Nathalie Buchez
archéologue
INRAP
Samuel Guérin
archéologue
INRAP
Jade Bajeot
archéologie préhistoire, doctorant
Sapienza Università di Roma
François Briois
archéologue
CNRS - UMR 5608
Deborah Casini
archéologue
université de la Sapienza de Rome
Rachid El Hajaoui
modélisation 3D
Inrap
Abdekkatif Elshafaey
université du Caire
Attia Elshafaey
université du Caire
Aline Emery-Barbier
palynologue
Maison de la recherche (Nanterre)
Joséphine Lesur
archéozoologue, maître de conférences
MNHN
Béatrix Midant-Reynes
archéologue protohistorienne, directeur de recherche émérite
CNRS, UMR 5608 TRACES
Mathilde Minotti
archéologue, doctorant
UMR Traces
Sidonie Preiss
archéobotaniste
Université de Leuven
Jérome Robitaille
tracéologue, doctorant
EHESS
Camille Vanhove
archéologue
Julie Villaeys
égyptologue, doctorant
Université Paris 4 Sorbonne
Tell el-Iswid est situé dans le delta Oriental du Nil, à 40 km au nord-est de la ville actuelle de Zagazig, dans la province de la Sharqiyah. L’intérêt de ce site pour les périodes antérieures aux premières dynasties tient à ce que fut mise en évidence, dès le milieu des années 1980, une épaisse stratigraphie couvrant la totalité du IVe millénaire. À l’instar de sites comme Bouto, Tell el-Iswid offre un potentiel archéologique essentiel pour renouveler les réflexions sur les cultures qui se sont succédé, durant la période de formation de l’État égyptien, dans cette région clé du Delta, au carrefour de l’Afrique saharienne et du Levant. Les fouilles, commencées en 2006, ont également mis en évidence des structures bâties de la Basse Époque, dont l’étude pourra dans l’avenir constituer un prolongement des travaux actuels.