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| [G2] Fischer, MMJ 12-13, 3ème article, | p. 22, fig. 34b = | |
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| [G2] Davies, Deir el Gebrâwi I, | pl. 14. | |
Davies traduit l’inscription « a sculptor working on a lion », sans prendre en compte le mot ȝbw (cf. Davies, p. 19, col. 2). H. G. Fischer reprend la traduction de N. de G. Davies (Fischer, p. 22). L’inscription peut être lue soit kȝt m rw ỉn gnwty ȝbw « travailler sur un lion par le sculpteur ȝbw », soit kȝt m rw ȝbw ỉn gnwty « travailler sur un lion en ivoire par le sculpteur ». Dans ce dernier cas, le mot ȝbw désignerait la matière travaillée par le sculpteur, à savoir l’ivoire. En ancien-égyptien, l’indication de matière d’un objet peut se faire soit au moyen d’un génitif direct (cf. Edel, Altäg. Gramm. I, § 312) -ce serait le cas ici- soit au moyen d’un génitif indirect introduit par n(y) (cf. Edel, § 327), voire par la préposition m (cf. Edel, § 312). La position même du mot ne nous permet pas de confimer l’une ou l’autre hypothèse. En effet, bien qu’il soit écrit juste au-dessous du lion, le manque de place évident et le respect de l’harmonie du texte peut très bien justifier la position du nom du sculpteur à cet endroit. Un autre indice laisse à penser qu’il s’agit bien d’un anthroponyme, à savoir l’absence de déterminatif pour le mot “ ivoire ” (cf. Wb. I, 7), mot qui d’ailleurs ne semble attesté qu’au Moyen Empire, selon le Wb. |
| [G2] LD Text II, | p. 64, n° 11 = | |
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| [G2] LD II, | pl. 110q. | |
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