Institut français
d’archéologie orientale du Caire

IFAO

Catalogue des publications

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Les articles des volumes suivants sont vendus sous forme de PDF à télécharger: BiEtud: numéros 110, 120, 138, 140, 165 (gratuit), EtudUrb: 9.


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BIFAO113_art_17.pdf (1.2 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
28 p.
gratuit - free of charge
La mesure du temps de la journée (1). Modules et fonctionnement des premières horloges à ombre

Cet article a trait à la perception du temps en Égypte ancienne, plus précisément aux instruments et aux moyens utilisés pour mesurer le temps quotidien, soit le temps de la journée. Il se fonde sur une analyse croisée des sources, tant archéologiques qu’épigraphiques et iconographiques. Il cherche à mettre en lumière, par une réévaluation des hypothèses proposées par le passé, la composition d’une horloge à ombre, son mode de fonctionnement et les imprécisions que ce type d’objet entraîne par rapport à la réalité astronomique. Cette étude sera suivie d’une autre, portant quant à elle sur les modèles d’horloges à ombre récents et sur les cadrans solaires.

Mots-clés  : erception du temps – mesure du temps quotidien – comput des heures – premiers modèles d’horloges à ombre – histoire des techniques – culture matérielle – épigraphie et étude de texte.

This article deals with the ancient Egyptian perception of the passage of time, more precisely with the instruments and the means used by the Egyptians to measure daily time. It draws on a cross-analysis of archaeological data as well as epigraphic and iconographic documents. It seeks to understand, through a careful reevaluation of previous assumptions, the composition of a shadow-clock, its mode of operation and its inaccuracy in relation to astronomical accuracy. This study is to be followed by a second one, which will deal with recent models of shadow-clocks and sundials.

Keywords:  perception of the passage of time – daily time measurement – hourly count – early models of shadow-clocks – history of technology – material culture – epigraphy and textual study.

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BIFAO113_art_16.pdf (1.4 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
28 p.
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Architecture et image d’architecture dans le temple de Louxor

À l’époque ramesside, le dieu Amon apparaît fréquemment sous un baldaquin érigé sur une estrade pourvue d’une corniche à gorge et d’un tore. Cette particularité architecturale dans l’iconographie de la scène n’est pas un ajout insignifiant, mais il renvoie, au contraire, à une réalité architecturale sur le terrain. Ce détail iconographique apparaît au début du Nouvel Empire dans le contexte de la barque d’Amon. Il se retrouve ensuite sous le règne d’Amenhotep III dans les images du roi assis sous un dais dans les tombes privées. Finalement, à l’époque post-amarnienne, il est également repris pour la figure du dieu. La décoration de la cour ramesside de Louxor contient plusieurs exemples de cette estrade à corniche à gorge. Ceci nous pousse à croire qu’il s’agit dans ce cas d’une évocation du temple d’Amenhotep III à Louxor, dont la partie couverte est en effet construite sur un socle pourvu d’une corniche à gorge. L’étude démontre, de plus, qu’un nombre de scènes provenant des temples thébains et utilisant ce type d’estrade peut être considéré comme une représentation en deux dimensions de l’architecture de Louxor, permettant de mieux comprendre les rites qui étaient exécutés dans ce temple.

Mots-clés  : Louxor – Karnak – Medinet Habou – Amon – architecture – représentation d’architecture – Fête d’Opet – Fête de Min – iconographie royale – relief cultuel – corniche à gorge.

In the Ramesside Period, the God Amon appears frequently under a canopy erected on a platform equipped with a cornice and a torus. This architectural feature in the iconography of the scene is not an insignificant addition, but, on the contrary, refers to an architectural reality. This iconographic detail appears at the beginning of the New Kingdom in the context of the barque of Amun. Under Amenhotep III, it is recuperated by the images of the King seated under a canopy in the private tombs. Finally, at the Post-Amarna Period, it is also used for the figure of the God. The decoration of the Ramesside court in Luxor temple contains several examples of this podium with cornice. This leads us to believe that in this case, it is an evocation of the temple of Amenhotep III in Luxor, which is partly built on a base with a cornice. The study shows moreover that a number of scenes from the Theban temples using this type of platform can be considered as a two dimensional representation of the Luxor architecture. This creates a better understanding of the rituals that were performed in this temple.

Keywords:  uxor – Karnak – Medinet Habou – Amon – architecture – architectural representation – Opet Festival – Min Festival – royal iconography – religious relief – Egyptian cornice.

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BIFAO113_art_15.pdf (1.2 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
20 p.
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La tombe perdue de Bouri, employé du domaine d’Aton à Memphis

Cet article est la publication de trois objets provenant de la tombe perdue d’un dénommé Bouri (règne d’Horemheb-début de la XIXe dynastie) : une stèle (Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage inv. no ДВ 1092), une statue-cube (Copenhague, Ny Carlsberg Glyptotek inv. ÆIN 53) et une statuette stéléphore qui demeurait inédite (Liverpool, National Museums inv. M13980).

Cette tombe est à situer dans l’une des nécropoles de la ville de Memphis, très probablement Saqqara.

L’étude se compose comme suit : traduction et analyse des inscriptions ; étude stylistique et datation des objets ; développement sur les statues stéléphores et les statues-cubes déposées à l’intérieur des tombeaux memphites du Nouvel Empire ; discussion sur la carrière de Bouri qui fut « porte-étendard du navire Khâemmaât » et « directeur des cargos-qr du domaine d’Aton », ce qui en fait le dernier fonctionnaire du domaine de l’Aton attesté dans la documentation actuellement disponible. L’article s’achève par une réflexion sur la lecture du nom propre Bwrj où sont inventoriés les cas où les signes M4, M6 et M7 furent employés comme déterminatifs phonétiques des termes se terminant par le phonème rj.

Mots-clés  : tatue-cube – Bouri (tombe, carrière) – Devéria Théodule (photographies) – domaine d’Aton – Horemheb (époque de) – Khâemmaât (navire royal) – Khây (directeur du double-trésor du temple de Ramsès II) – Memphis – période post-amarnienne – Ptahânkh (chef des chanteurs un temple de Ptah) – Saqqara – statue stéléphore.

This article is the publication of three artefacts from the lost tomb of Buri (temp. Horemhab-early Dynasty XIX): a stela (St. Petersburg, Hermitage Museum inv. no. ДВ 1092), a block statue (Copenhagen, Ny Carlsberg Glyptotek inv. ÆIN 53), a stelephorus statue which was still unpublished (Liverpool, National Museums inv. M13980). This tomb was located in the necropolis of Memphis, probably in Saqqara. This study includes translation and analysis of the inscriptions; stylistic analysis and dating of the artefacts; discussion about block statues and stelephorus statues which come from Memphite tombs from the New Kingdom Period and about Buri’s career (“standard-bearer of the ship Khaemmaat” and “controller of the qr-cargo ships of the Estate of Aten”). He is the last official currently known who worked for the estate of Aten.

The article ends with a reflection on the reading of the proper name Bwrj with an inventory of the cases where the M4, M6 and M7 signs were used as phonetic determinative rj.

Keywords:  lock statue – Buri (tomb, career) – Devéria Théodule (photographs) – Estate of Aten – Horemheb (time of) – Khaemmaat (royal ship) – Khay (Director of the double treasury of the temple of Ramesses II) – Memphis – Post-Amarna Period – Ptahankh (Chief of singers in the temple of Ptah) – Saqqara – Stelephorus statue.

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BIFAO113_art_14.pdf (1.6 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
22 p.
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Une curieuse pratique contre le « mauvais œil » observée dans un quartier du Ramesseum

La fouille d’un nouveau secteur (STN) du Ramesseum situé dans le quartier sud des dépendances a permis de mettre au jour un ensemble de bâtiments peut-être en relation avec l’administration du temple. Cet ensemble auquel on accédait par un étroit couloir, comprenait une dizaine de pièces et une cour formant quatre unités mitoyennes mais indépendantes. Si les structures dégagées sont bien contemporaines de l’époque ramesside, les lieux semblent en revanche avoir été réutilisés à une époque plus tardive. En effet, la découverte, près du seuil de chaque porte, de petits dépôts contenant des oushebtis de la Troisième Période intermédiaire, parfois associés à des billes de silex, fait penser à un rituel de protection des lieux, sans doute contre le « mauvais œil ». La réoccupation de cet ensemble de bâtiments pourrait être contemporaine de l’époque copto-byzantine, ainsi que le laissent penser plusieurs ostraca coptes et un fond de coupe orné d’une croix retrouvés in situ.

Mots-clés : amesseum – secteur STN – réoccupation – époque copto-byzantine – rituel de protection – « mauvais œil ».

The archaeological excavation of a new sector (STN) of the Ramesseum, located in the southern area of the temple dependences, allowed us to unearth a number of annexes, probably connected with the administration of the temple itself. This group of rooms was accessible through a narrow corridor and was made up of about ten rooms and a courtyard, forming four independent units. The above mentioned unearthed structures certainly date back to the reign of Ramesses II, but the entire area seems to have been reoccupied in a later period. In fact, the discoveries we made near the threshold of each door allowed us to identify some small deposit holes containing some ushabtis, along with small silex balls, dating back to the Third Intermediate Period. These finds led us to presume it was a protection rite of the area against the “evil-eye”. The reoccupation of these structures might date back to the Coptic-Byzantine Period, as suggested by a lot of coptic ostraca found in situ along with the bottom of a bowl decorated with a cross.

Keywords: amesseum – sector STN – re-occupation – Coptic-Byzantine Period – protection rituel – “evil-eye”.

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BIFAO113_art_13.pdf (1.4 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
44 p.
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La technique du sciage des joints dans la maçonnerie ptolémaïque en grès

Pour parvenir à l’ajustement parfait entre deux blocs de maçonnerie, les anciens constructeurs ont développé une technique efficace et simple qui consiste à scier simultanément leur face de joint. Cette action a pour effet de donner un profil parfaitement identique aux deux faces qui sont destinées à venir en contact. Ainsi, après un dernier resserrement, le joint est parfait. Si les exemples relatifs à cette technique sont nombreux et connus dans le monde romain, les témoignages sur les édifices pharaoniques restent en revanche relativement rares. De récentes observations effectuées sur un certain nombre de temples situés en Haute-Égypte nous conduisent à croire que cette pratique était en fait courante durant la période ptolémaïque. Celle-ci concernait aussi bien les joints verticaux que les horizontaux. L’interprétation des traces spécifiques laissées par la scie sur la pierre, ainsi que l’expérimentation et l’analyse des outils déjà exhumés, permettent de retracer assez précisément les différentes étapes de la technique du sciage de joint.

Mots-clés  : açonnerie – taille de pierre – scie – joint – pose – ajustement – construction – période ptolémaïque et romaine – grès.

In order to adjust both blocks perfectly, the ancient builders have developed a simple and efficient technique which involves cutting simultaneously with a saw their common joint. The process gives exactly the same shape on the both faces of two stones which have to be fitted together. So, after a last pushing, the joint is perfect. Although there are numerous and well known examples about this technique into the Roman world, the cases on pharaonic buildings are rarely reported. Recent observations on some temples of Upper Egypt lead us to believe that the joint sawing was a common practice during the Ptolemaic Period. The process concerns for both the vertical joints and the horizontal ones. The study of specific marks left by the saw on the stone, the experimentation and the analysis of tools already exhumed can reveal the different steps of the technique of the joint sawing.

Keywords: asonry – stone cutting – saw – joint – laying – fitting – construction – Ptolemaic and Roman Period – sandstone.

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BIFAO113_art_12.pdf (1.9 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
36 p.
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Ayn Asil, palais des gouverneurs du règne de Pépy II. État des recherches sur la partie sud

La partie sud du palais des gouverneurs de l’oasis de Dakhla fondé sous le règne de Pépy II est celle dont l’occupation est la plus durable, puisqu’elle se prolonge jusqu’au début du Moyen Empire. Trois phases architecturales s’y succèdent et constituent des repères utiles à une définition stratigraphique de l’ensemble de la zone du palais. Le matériel céramique permet de dater ces phases et de les inscrire dans le cadre de périodes historiques : fin vie dynastie-viiie dynasties, Première Période intermédiaire-xie dynastie, début du Moyen Empire (fin XIe dynastie-début XIIe dynastie).

Mots-clés : yn Asil – palais des gouverneurs – Ancien Empire – Pépy II – Première Période intermédiaire – Moyen Empire.

The southern part of the governor’s palace at Ayn Asil/Balat in Dahkla Oasis has been the main focus of excavation during recent years. It is part of the original palace complex founded in the reign of Pepi II, and the southern part remained in use until the early Middle Kingdom. Its three main phases of occupation serve as the main reference points for the stratigraphy of the whole palace complex. They are dated by the ceramics to the end of the VI th Dynasty-VIII th Dynasty, the First Intermediate Period-XI th Dynasty and the early Middle Kingdom (end of the XI th Dynasty-beginning of the XII th Dynasty).

Keywords: Ayn Asil – palace of the governors – Old Kingdom – Pepy II – First Intermediate Period – Middle Kingdom.

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BIFAO113_art_11.pdf (0.3 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
10 p.
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Les graffiti érotiques de la tombe 504 de Deir el-Bahari revisités

Les graffiti érotiques de la tombe 504 (Deir el-Bahari) ont régulièrement été interprétés par les modernes comme une représentation de la reine Hatchepsout et du dignitaire Senenmout. Aucun élément iconographique ni critère de datation ne viennent pourtant étayer cette interprétation. La comparaison de ces dessins avec des figurines et graffiti similaires, et l’analyse de leur contexte de représentation, poussent l’auteure à suggérer l’hypothèse d’une fonction votive liée à la fertilité.

Mots-clés : ombe 504 – Deir el-Bahari – graffiti érotiques – Senenmout – Hatchepsout – ex-voto – fertilité.

Scholars usually describe the erotic graffiti from tomb 504 at Deir el-Bahari as a representation of Queen Hatshepsut and the official Senenmut. However, there is no basis in the iconography, nor any dating criterion, to support such an interpretation. Through the comparison with similar representations and figurines, and the examination of their context, the author suggests that the graffiti may bear a votive function associated with fertility.

Keywords: Tomb 504 – Deir el-Bahari – erotic graffiti – Senenmut – Hatshepsut – ex-voto – fertility.

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BIFAO113_art_10.pdf (0.4 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
10 p.
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A Visitor’s Hieratic Ostracon Concerning the Temple of Deir el-Bahri

Cet article est la publication d’un ostracon hiératique contenant une formule rare, généralement présente dans les graffiti sur les murs des tombes et des temples. L’article tente également de revenir sur les raisons de la présence de cette formule sur un tel support et d’établir une connexion entre l’écriture de cet ostracon et celle des ostraca de Senmout.

Mots-clés : stracon de visiteur – formule de visiteur – XVIIIe dynastie – Deir el-Bahari – temple d’Hatchepsout – ostraca de Senmout.

The present article deals with a hieratic ostracon containing a very rare formula. This kind of formulae was usually written as graffiti on the walls of tombs and temples. The paper also tries to shed more light on the reasons for the writing of such a text on an ostracon, and to find a connexion between the handwriting of the ostraca of Senmut and the ostracon under discussion.

Keywords: isitor ostracon – visitor’s formulae – XVIII th Dynasty – Deir el-Bahri – Hatshepsut temple – Senmut ostraca.

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BIFAO113_art_09.pdf (0.9 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
26 p.
gratuit - free of charge
Wall-Paintings in a Roman House at Ancient Kysis, Kharga Oasis

Après un hiatus de vingt ans, la campagne 2008-2009 de Tell Douch a repris avec la fouille d’une salle peinte au sein d’une habitation romaine. Le bâtiment est situé sur le côté ouest du dromos menant au temple, considéré de nos jours comme la rue principale du site par les visiteurs. L’érosion, due au vent et exposant constamment les traces de l’ancienne installation à la surface, a mis au jour les restes d’élévation de murs peints. Compte tenu des conditions de conservation, une fouille limitée a été menée pour les étudier de manière exhaustive, des échantillons d’enduit et de pigment ont également été prélevés en vue d’analyse et de datation au radiocarbone. Il s’agit d’évaluer quelles mesures prendre pour une conservation appropriée avant de remblayer ces restes peints. Bien que seule la partie inférieure du mur soit préservée, la découverte de cette peinture d’époque romaine tardive a révélé une figure vêtue d’un habit militaire et impérial violet. Un bassin lithique, de l’artisanat métallique rouillé, des fragments céramiques et des figurines animales en argile crue ont également été mis au jour dans la salle peinte.

Mots-clés : asis de Kharga – Douch – peintures romaines – datation radiocarbone – maisons romaines.

After a hiatus of almost two decades, excavation at Tell Douch was resumed in the 2008-2009 season with the investigation of a painted room within a Roman house. The building is situated on the western side of the dromos leading to the temple, the main thoroughfare for present-day visitors to the site. The wind erosion of the surface that constantly exposes traces of the ancient settlement had brought to light here the uppermost remains of painted surfaces. Because of the situation and conditions, it was decided to carry out a limited excavation to document the painted remains as fully as possible, including sampling for plaster and pigment analysis and radiocarbon dating, and also to apply the appropriate conservation measures before backfilling. Although only the lower part of the walls has survived, the remains of unique late Roman paintings showing figures in military and imperial purple dress have been revealed; a stone basin, corroded metalwork, fragments of pottery, and animal models in unbaked clay were also found within the painted room.

Keywords: harga Oasis – Douch – Roman paintings – radiocarbon dating – Roman houses.

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BIFAO113_art_08.pdf (0.7 Mb)
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Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 113
2014 IFAO
14 p.
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Nouvelle édition des « Tablettes Batissier ». Un témoignage méconnu des fouilles de Mariette au Sérapéum ?

Les « Tablettes Batissier » forment un codex de tablettes cirées édité en 1852 par François Lenormant et dont la trace avait été perdue. Retrouvées au Cabinet des médailles (Bibliothèque nationale de France, Paris), elles font ici l’objet d’une réédition, qui est aussi l’occasion de réexaminer le rôle que Louis Batissier (1813-1882) joua dans les fouilles de Mariette au Sérapéum de Memphis, d’où ces tablettes pourraient bien provenir.

Mots-clés : « Tablettes Batissier » – tablettes cirées – textes scolaires – Louis Batissier – Auguste Mariette – Sérapéum.

The “Tablets Batissier” are a codex of wax tablets published in 1852 by François Lenormant and whose trace had been lost. Having rediscovered them in the Cabinet des médailles (Bibliothèque nationale de France, Paris), we propose here a reedition, which is also the occasion of revisiting the role Batissier Louis (1813-1882) played in the excavations of Mariette in the Serapeum of Memphis, where these tablets could come from.

Keywords: “Tablettes Batissier” – wax tablets – school texts – Louis Batissier – Auguste Mariette – Serapeum.