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Ce volume consacré aux inscriptions grecques de la ville d'Hermoupolis Magna et de Touna el-Gebel, la nécropole, est le second tome, après les Inscriptions grecques et latines d'Akôris (BdE 103, 1988), du corpus destiné à rassembler les textes épigraphiques de la Moyenne Égypte. La présentation des inscriptions issues de ces deux sites majeurs est précédée d'un historique des fouilles et des découvertes destiné à faire apparaître les progrès de la prospection archéologique. Si les inscriptions grecques d'Hermoupolis Magna sont peu nombreuses (22), elles sont particulièrement importantes, notamment les trois longues listes de militaires qui permettent, par l'étude de l'onomastique, de connaître la composition et les différentes unités de la garnison sous les Lagides. Huit inscriptions sont de l'époque ptolémaïque, treize de l'époque impériale, une de l'époque chrétienne. Parmi les soixante inscriptions de Touna el-Gebel, essentiellement des épitaphes, sont d'un intérêt exceptionnel les textes gravés sur le tombeau de Pétosiris, l'épitaphe imprécatoire de l'athlète Marcus Aurelius Ammonius, et les épigrammes, réunies dans un corpus en 1969 et reprises ici avec un commentaire actualisé, compte tenu des corrections ou des interprétations proposées par la critique. Des indices relatifs à l'emplacement des inscriptions, aux publications antérieures, aux anthroponymes, aux mots grecs, et un index général facilitent l'utilisation du corpus.

Le temple d'Hathor à Dendera, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l'Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume fournit un index lexical complet des inscriptions hiéroglyphiques publiées dans Dendara X, correspondant au complexe osirien situé sur le toit du temple et composé de six chapelles, incluant notamment le fameux zodiaque et le grand texte des mystères de Khoiak.

Le temple d'Hathor à Dendera, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l'Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume de commentaire concerne Dendara X, qui offre la publication des inscriptions du complexe osirien situé sur le toit du temple et composé de six chapelles, incluant notamment le fameux zodiaque et le grand texte des mystères de Khoiak. Il se veut avant tout une explication de texte, mettant en évidence d’une part les détails de la décoration, d’autre part les points forts et originaux de celle-ci. Il suit l’ordre de la publication des textes et renvoie aux pages et planches de Dendara X. Il comprend trois annexes consacrées à Osiris, aux autres dieux et aux données essentielles relatives aux nomes.

Le temple d'Hathor à Dendera, admirablement conservé, est probablement la plus aboutie des réalisations architecturales de l'Égypte ptolémaïque et romaine et la richesse des compositions théologiques qui ornent ses murs est incomparable. Ses inscriptions hiéroglyphiques ont été éditées sous l’égide de l’Institut français d’archéologie orientale, d’abord par É. Chassinat puis par Fr. Daumas, et enfin par S. Cauville. Ce volume fournit la transcription (translittération) et la traduction intégrales des inscriptions hiéroglyphiques publiées dans Dendara X, correspondant au complexe osirien situé sur le toit du temple et composé de six chapelles, incluant notamment le fameux zodiaque et le grand texte des mystères de Khoiak.

L'atelier de potiers de la vieille ville d'Al-Qasr produit toutes les formes utilisées de nos jours à Dakhla et fournit l'ensemble de l'oasis.

Nessim Henein décrit dans le moindre détail les étapes de la fabrication des vases, de la recherche de l'argile rouge ou blanche à la cuisson dans des fours à tirage vertical. Il étudie, geste par geste, le tournage de quelque quarante sortes de pots, du godet de roue à eau à la gargoulette, classés par groupes de façonnage, selon les catégories des potiers eux-mêmes et montre comment les choix techniques sont déterminés par l'usage final.

Il explique l'organisation familiale de l'atelier et le rythme de travail des artisans, commandé par les besoins de l'agriculture et les contraintes du climat, au fil des saisons, sur un cycle annuel.

Au-delà de ces données précises, Nessim Henein qui a vécu avec les potiers d'Al-Qasr nous propose de l'atelier une vision de l'intérieur et nous en fait ressentir l'atmosphère.

Par ces divers aspects, son livre s'adresse à un public varié: archéologues auxquels il signale à quel indice reconnaître une technique de façonnage, potiers, ethnographes, amateurs d'arts et traditions populaires, lecteurs intéressés par l'Égypte, quiconque enfin est sensible à la beauté du geste créateur et à l'équilibre d'une société humaine.