Catalogue des publications
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Fichiers à télécharger
Les articles des volumes suivants sont vendus sous forme de PDF à télécharger: BiEtud: numéros 110, 120, 138, 140, 165 (gratuit), EtudUrb: 9.
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
20 p.
gratuit - free of charge
Charles Bonnet
Les grands monuments égyptiens et nubiens du début de la XVIIIe dynastie sur le site de Doukki Gel (Kerma).
Après une étude de la ville antique de Kerma, les vestiges d’une seconde agglomération nubienne sont apparus sur le site de Doukki Gel, à 1 km au nord. Des temples et des palais caractérisent un centre cérémoniel nubien. Durant le règne de Thoutmosis Ier, l’établissement d’un menenou change l’aspect de l’ensemble construit mis à part les temples primitifs qui sont préservés. L’opposition des monuments du royaume de Kerma et ceux réalisés par les Égyptiens est impressionnante. Elle permet d’observer une architecture africaine de plans circulaires ou ovales encore inconnue, faisant face aux grands bâtiments pharaoniques quadrangulaires.
Mots-clés : temples et palais nubiens – le menenou de Thoutmosis Ier – Doukki Gel – Kerma.
After excavating of the ancient city of Kerma, a second largest Nubian city remains appeared on the site of Dukki Gel, 1 km to the north. Temples and palaces are the characteristics of a Nubian ceremonial center. During the reign of Thutmose 1 st, the establishment of a menenu changes the appearance of the whole building apart from primitive temples that are preserved. The difference between the kingdom of Kerma monuments and those made by the Egyptians is impressive. It allows to perceive a new type of African architecture (circular or oval plans), facing the great pharaonic quadrangular buildings.
Keywords: Nubian temples and palaces – menenu of Thutmose 1 st – Dukki Gel – Kerma.- Charles Bonnet ( : 027948471)
Membre de l'Institut
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
38 p.
gratuit - free of charge
Sobhi Ashour
An Unpublished Granite Statue of Diskophoros Ephébos in Cairo.
Publication d’une statue représentant un éphèbe diskophoros sur le chemin du gymnase ou palestre. Ce type de statue ne semble pas attesté auparavant dans l’art hellénique. Des rapprochements ont été faits avec la représentation de Daochos I et les statues « très discutées » des Tralleis Boy. Il est possible que cette iconographie ait été créée à Alexandrie vers la fin du iiie siècle av. J.-C. Le style, le traitement de surface et la finition de la statue suggèrent qu’il s’agit peut-être d’une copie ou d’une production plus tardive du modèle Alexandrin au début du ier siècle av. J.-C. Pour la première fois, est représenté en statuaire ce qui est décrit dans les papyrus et les inscriptions concernant le gymnase et l’ephebeia en Égypte ptolémaïque et Romaine. L’utilisation du granit rose témoigne de l’habilité des sculpteurs alexandrins et des copistes dans le travail des pierres dures, qui était à la mode depuis le début du iiie siècle av. J.-C.
Mots-clés : athlètes grecs – éphèbe – Diskophoros – gymnase – palestre – chlamide – Égypte gréco-romaine – art alexandrin – art ptolémaïque.
Publication of a statue depicting ephebe diskophoros on his way to the gymnasium or palaistra. This type has not been attested yet in Hellenistic art, but similarities have been done with the statue of Daochos I and the much-debated Tralleis Boy statues. This type perhaps was created in Alexandria by late 3 rd century BC. The style, surface treatment and finishing of the statue suggest that perhaps it was a copy or a successive edition of the Alexandrian model in the first century BC. For the first time a statue illustrates the descriptions in the papyri and in the inscriptions about gymnasia and ephebeia in Ptolemaic and Roman Egypt. The material, red granite shows the ability of Alexandrian sculptors and copyists to work hard stones, which was familiar since early 3 rd century BC.
Keywords: Greek athletes – Ephebe – Diskophoros – Gymnasium – Palaistra – Chlamys – Greco-Roman Egypt – Alexandrian art – Ptolemaic art.- Sobhi Ashour ( : 24822896X)
Professor of Graeco-Roman Art and Archaeology, Helwan University, Faculty of Arts, Dep. of Archaeology and Culture, Cairo
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
8 p.
gratuit - free of charge
- Pierre Tallet ( : 07926817X)
Ancien élève de l’École normale supérieure (Ulm), agrégé d’histoire et ancien adjoint aux publications de l’IFAO, Pierre Tallet est actuellement titulaire de la chaire d’égyptologie de la Sorbonne. Depuis 2001, dans le cadre d’un programme consacré aux expéditions minières égyptiennes en mer Rouge, il a dirigé ou co-dirigé les missions archéologiques d’Ayn Soukhna et du ouadi el-Jarf – deux ports pharaoniques récemment identifiés sur la côte du golfe de Suez – et mené une prospection au sud de la péninsule du Sinaï.
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
4 p.
gratuit - free of charge
Dominique Valbelle
Paul Barguet (1915-2012).
- Dominique Valbelle ( : 027174107)
Ancien membre scientifique de l’Ifao, professeur émérite de Sorbonne-Université, Dominique Valbelle a consacré de nombreuses années au site de Deir el-Médina. Elle a rédigé une synthèse sur l’institution et les hommes de « la Tombe » et publié plusieurs volumes sur les ouchebtis, les poids à inscriptions hiératiques, une tombe et les registres de recensement dans le Village.
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 112
2013 IFAO
6 p.
gratuit - free of charge
- Nicolas Grimal ( : 02690330X)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
14 p.
gratuit - free of charge
Abd El-Ghaffar M. Wagdy, Hassan A. El-Ebiary
New Funerary Stelae from Kom Abou Bellou.
Cet article est la publication de onze stèles funéraires inédites mises au jour sur le site de Kôm Abou Billou, en bordure du delta Occidental, au cours d’une campagne de fouilles de sauvetage effectuée par les auteurs en 2006-2007. Aujourd’hui déposées dans les magasins de Giza, leur publication contribue à l’augmentation du corpus des documents funéraires d’époque romaine.
Mots-clés : stèles funéraires – Kôm Abou Billou – époque gréco-romaine – delta Occidental.
This paper deals with eleven unpublished stelae unearthed at the archaeological site of Kom Abou Bellou, in the Western Delta. Uncovered during rescue excavations conducted by the authors during 2006-2007, these stelae are now kept in the Giza Pyramid Museum magazine. The publication of this material increases the corpus of funerary documents from the Roman Period.
Keywords: funerary stelae – Kom Abou Bellou – Graeco-Roman Period – Western Delta.Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
9 p.
gratuit - free of charge
Claire Somaglino, Pierre Tallet
Une mystérieuse route sud-orientale sous le règne de Ramsès III.
La récente découverte, annoncée par la Commission saoudienne pour le tourisme et les antiquités, d’une inscription rupestre de Ramsès III près de l’oasis de Tayma, en Arabie Saoudite, éclaire d’un jour nouveau le développement des routes d’échanges au début de la XXe dynastie. Ce marquage – deux cartouches du roi accompagnés d’une épithète – est similaire à deux autres inscriptions de ce roi repérées dans le Sinaï et le Sud-Neguev. Ce sont autant de jalons d’une route qui passait également par le poste-frontière de Tjékou (Tell ar-Retabah), où Ramsès III fit réaliser d’importants travaux d’agrandissement. L’ensemble de ces données confirme l’image qui se dessinait déjà dans P.Harris I : celle d’un regain considérable des activités d’échanges sur les routes sud-orientales sous le règne de ce roi. On ignorait cependant, jusqu’à la découverte de l’inscription de Tayma, que les Égyptiens s’étaient aventurés aussi loin de leurs bases. Peut-être faut-il y voir une tentative précoce d’adaptation aux changements dans la configuration régionale des échanges qui débutent alors.
Mots-clés : échanges – Sinaï – péninsule Arabe – frontières – Ramsès III – inscriptions rupestres.
The recent discovery by the Saudi Commission for Tourism and Antiquities of a rock inscription belonging to Ramesses III near the oasis of Tayma in Saudi Arabia, sheds new light on the development of trade routes at the beginning of the 20 th Dynasty. These markings consist of two cartouches depicting the king accompanied by an epithet. It is similar to two other inscriptions of Ramesses III found in the Sinaï and South-Neguev. These inscriptions were landmarks placed on a road that also went through the border-post of Tjeku (Tell el-Retabah), where Ramesses III undertook extensive building works. The complete set of data confirms what is already understood from P.Harris I, namely that there was a significant renewal of trade activities on the south-oriental roads during the reign of Ramesses III. However, until the discovery of the Tayma inscription, the acknowledgement that the Egyptians ventured so far, tended to be ignored. This activity is perhaps to be considered as an early endeavour by the Egyptians to adapt themselves to changes in regional trade configuration, which began during this period.
Keywords: trade routes – Sinai – Arabian Peninsula – borders – Ramesses III – rock inscriptions.- Claire Somaglino ( : 162030401)
Ancienne membre scientifique de l’IFAO, Claire Somaglino est agrégée d’histoire et maîtresse de conférences à l’UFR d’histoire de la faculté des Lettres de Sorbonne Université. Elle est spécialiste de l’étude des frontières de l’Égypte pharaonique et des questions de perception de l’espace, en particulier par l’étude de la toponymie ancienne. Elle participe à la fouille du port pharaonique d’Ayn Soukhna, en mer Rouge, depuis 2011 et en a repris la direction en 2017. Elle est également engagée dans la fouille du site de Plinthine depuis 2016. Claire Somaglino a publié récemment un Atlas de l’Égypte ancienne aux éditions Autrement (2020). - Pierre Tallet ( : 07926817X)
Ancien élève de l’École normale supérieure (Ulm), agrégé d’histoire et ancien adjoint aux publications de l’IFAO, Pierre Tallet est actuellement titulaire de la chaire d’égyptologie de la Sorbonne. Depuis 2001, dans le cadre d’un programme consacré aux expéditions minières égyptiennes en mer Rouge, il a dirigé ou co-dirigé les missions archéologiques d’Ayn Soukhna et du ouadi el-Jarf – deux ports pharaoniques récemment identifiés sur la côte du golfe de Suez – et mené une prospection au sud de la péninsule du Sinaï.
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
26 p.
gratuit - free of charge
Omaïma El-Shal
La chapelle d’Osiris (L/XIII) dans le temple de Ramsès II à Abydos.
Éclipsé par le grand temple de Sethy Ier, le temple de Ramsès II à Abydos mérite pourtant attention. Le présent article se veut compléter la publication des chapelles de ce temple faite ces dernières années. La chapelle d’Osiris (L/XIII) se situe au fond de la deuxième salle hypostyle, du côté nord. Formant un complexe avec la salle de l’Ennéade (L/XIV), elle présente un plan rectangulaire avec un banc occupant toute la largeur de la paroi du fond. Les scènes sont, dans leur majorité, plutôt bien conservées. Le motif mythologique représentant les quatre fils d’Horus émergeant du lotus offert à Osiris par Ramsès II est exceptionnel. Le décor de la chapelle illustre dans son ensemble le statut de Ramsès II comme fils-héritier.
Mots-clés : Abydos (chapelle L/XIII) – Chentayt – Ennéade – Heqet – Horus – Osiris-Ramsès II – Sethy Ier – temple.
Eclipsed by the great temple of Sety I, the temple of Ramesses II at Abydos however merits some attention. This paper focuses on the chapel of Osiris (L/XIII), located in the end of the second hypostyle hall on the north side and represents a continuation of work done on other chapels of the temple, which was conducted over the last couple of years. Forming a complex with the Ennead hall (L/XIV), the chapel has a rectangular plan at the end of which was erected a bench across the full width of the room. Many of the wall scenes are well preserved and can be considered exceptional. These include the mythological symbol of the four sons of Horus emerging from a lotus as an offering to Osiris. Furthermore, the special status as the successor-son of Ramesses II is confirmed within this chapel.
Keywords: Abydos (chapel L/XIII) – Shentayt – Ennead – Heqet – Horus – Osiris-Ramesses II – Sety I – temple.- Omaïma El-Shal ( : 234810564)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
12 p.
gratuit - free of charge
Hassan Selim
Two Royal Statue Bases from Karnak in the Basement of the Egyptian Museum in Cairo.
Les deux bases de statues royales présentement étudiées se trouvent dans les sous-sols du Musée égyptien du Caire. Inédites jusqu’alors, elles n’ont pas été enregistrées dans le Journal d’entrée. Malgré l’absence d’informations à leur sujet, elles proviennent vraisemblablement du temple de Karnak, sans doute de la Cachette de Karnak. Elles étaient en effet conservées dans une boîte qui contenait des fragments d’autres statues provenant du temple de Karnak.
La première base appartient à une statue debout de la reine Moutemouia, la seconde à une statue debout de Toutânkhamon.
Mots-clés : Cachette de Karnak – Moutemouia – Toutânkhamon – représentation des sandales dans la statuaire – caractéristiques stylistiques de la XVIIIe dynastie.
The two royal statue bases to be discussed in this article are in the basement of the Cairo Museum. They have never been published before and do not have registration numbers. Although there is no information on their provenance, they probably originate from Karnak Temple, from the Karnak Cachette. This assumption is based on the fact that they were stored within a box with other statue fragments from Karnak Temple.
The first base is belonging to a standing statue of Queen Mutemwia. The second base is belonging to a standing statue of Tutankhamun.
Keywords: Karnak Cachette – Mutemwia – Tutankhamun – the representation of sandals in statues – style of the 18 th Dynasty.- Hassan Selim ( : 235399132)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale 111
2011 IFAO
21 p.
gratuit - free of charge
Bérangère Redon
Statut, revenus et fiscalité des édifices de bain en Égypte. 1. Époque ptolémaïque.
Malgré une documentation importante, le statut (privé/public) des édifices et les différentes taxations portant sur les bains de l’Égypte ptolémaïque n’ont jamais été établis clairement. Les papyrus montrent pourtant que la plupart des bains ouverts au public (contre paiement d’un modeste droit d’entrée) étaient de propriété privée. L’État a ainsi laissé aux particuliers l’initiative économique de la construction et la gestion des nombreux bains d’Égypte. Le succès prodigieux du phénomène balnéaire en Égypte ptolémaïque apparaît explicitement dans les déclarations fiscales faites par les propriétaires de bain ; leurs revenus attestent en effet une fréquentation très importante (jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de clients par an dans les bains de Bousiris de l’Hérakléopolite au IIIe s. av. J.-C.).
Conscient sans doute de la manne économique représentée par l’activité balnéaire, l’État lagide n’a pas manqué de taxer cette activité lucrative : en taxant tout d’abord les propriétaires, sous la forme de l’impôt du tiers (τρίτη) ; en faisant peser ensuite une taxation spécifique (nommée βαλανείου ou βαλανείων) sur les gérants de bain, proportionnelle, sans doute, à leurs revenus.
Mots-clés : bains – époque hellénistique et romaine – statut privé/public – revenus – fréquentation – taxation.
Despite the amount of comprehensive documentation available, the varying taxation rates on private and public baths in Ptolemaic Egypt have never been clearly established. However, the papyri do indicate that most of the baths open to the public were privately owned and took a modest entrance fee. The state left it to the individual bath-house owners as to how they managed and maintained their establishments in Egypt. The prodigious success of the bathing phenomenon in Ptolemaic Egypt appears explicitly in the tax returns they made. Indeed, their incomes provide evidence for very large attendance, up to several tens of thousands of customers per year in the baths of Busiris in the Herakleopolite nome during the third century B.C.
Undoubtedly aware of the significant income collected by the bath-houses, the Ptolemaic state did tax this lucrative business in two ways: firstly, by taxing owners with the “tax of the third” (τρίτη); secondly, by imposing a special tax (named βαλανείου or βαλανείων) on bath-house managers, probably proportional to their income.
Keywords: baths – Hellenistic and Roman Period – private/public status – incomes – bath attendance – taxation.- Bérangère Redon ( : 140353542)
Ancienne membre scientifique de l’IFAO de 2009 à 2012, Bérangère Redon est chargée de recherche au CNRS (HiSoMA, Lyon) depuis 2012. Historienne et archéologue, elle s’appuie sur l’étude combinée des vestiges et des textes pour mener une étude à la fois historique, culturelle, économique et sociale de la présence grecque et romaine en Égypte. Elle développe des travaux sur l’appropriation (pratique, symbolique, économique) des espaces égyptiens, en particulier des marges et des frontières, par les différents pouvoirs qui se sont succédé sur le trône égyptien de l’époque saïte à l’époque romaine et sur les rencontres culturelles entre les populations établies sur le sol égyptien. Pour nourrir ces travaux, Bérangère Redon travaille depuis 2010 au sein de la mission archéologique française du désert Oriental (IFAO, MEAE), dont elle a assuré la direction de 2013 à 2017. En parallèle, elle participe depuis 2002 à la mission française de Taposiris-Plinthine (IFAO, MEAE), sur la côte méditerranéenne. Elle en a repri