Institut français
d’archéologie orientale du Caire

IFAO

Catalogue des publications

pays/zone estimés: 192.168.253.1 EGY XXX

Fichiers à télécharger

Les articles des volumes suivants sont vendus sous forme de PDF à télécharger: BiEtud: numéros 110, 120, 138, 140, 165 (gratuit), EtudUrb: 9.


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BIETUD183.pdf (98 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
183
ISBN 9782724709841
2023 IFAO
Langue(s): anglais
368 p.
30 (1500 EGP)

Stone Canvas
Towards a better integration of 'rock art' and 'graffiti' studies in Egypt and Sudan

This book presents proceedings of the conference devoted to rock art and graffiti studies in Egypt and Sudan that took place in Cairo from 10th to 12th November, 2019. The thematic spectrum of the contributions is very wide in terms of both their geographical and their chronological range, encompassing figural and textual sources dating from the Late Palaeolithic through the Predynastic, Dynastic, and Graeco-Roman periods, up to Christian and Islamic times. Many of the papers combine evidence from various archaeological domains and also attempt to better integrate graffiti and rock art materials in search of a common ground for research. Thus, the volume provides a good overview of the current state of investigations in these two fields of study in Egypt and Nubia.

A book co-published with the Polish Center of Mediterranean Archeology, University of Warsaw.

Cet ouvrage présente les actes du colloque sur l’art rupestre et les graffitis en Égypte et au Soudan qui s’est tenu au Caire du 10 au 12 novembre 2019. Le spectre couvert par les contributions est très large, tant sur le plan géographique que chronologique, puisqu’il englobe des sources figuratives et textuelles datant du Paléolithique supérieur, des périodes prédynastique, dynastique et gréco-romaine, jusqu’aux époques chrétienne et islamique. De nombreux articles rassemblent des témoignages issus de divers domaines archéologiques et tentent de mieux intégrer les graffitis et les sources d’art rupestre pour en faire un fonds commun de recherche. Le volume ainsi constitué offre un bon aperçu de l’état actuel des recherches dans ces deux domaines d’étude en Égypte et en Nubie.

Ouvrage publié en co-édition avec le Polish Center of Mediterranean Archeology, University of Warsaw.


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BiEtud182.pdf (23 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 182
ISBN 9782724709957
2023 IFAO
Langue(s): anglais
450 p.
49 (2450 EGP)

Graffiti and Rock Inscriptions from Ancient Egypt
A Companion to Secondary Epigraphy

Graffiti, dipinti, rock-inscriptions and other additions to walls and rocks are integral to the landscape and written practices of ancient Egypt. This book focuses on the margins of traditional ancient Egyptian epigraphic corpora.

It aims to provide an all-encompassing view of graffiti practices and corpora in ancient Egypt, ranging from predynastic rock art in the Eastern Desert, to hieratic inscriptions in Middle Egyptian tombs, and demotic signatures in Karnak temple. A range of specialists present primary data from three different environments—deserts, tombs, and temples—following common lines of inquiry that aim to look beyond their textual or iconographic content and address graffiti’s agency more closely.

Accordingly, this book investigates the interplay between secondary inscriptions and images, the space in which they were embedded, and the audiences for whom they were intended. Despite the diversity inherent in the nature of graffiti, common paths and shared threads of discussion emerge once these inscriptions are considered as material objects and socio-cultural practices.

Graffitis, dipinti, inscriptions rupestres et autres ajouts aux murs et aux parois rocheuses font partie intégrante du paysage et des pratiques écrites de l'Égypte ancienne. Ce livre se concentre sur les marges des corpus épigraphiques traditionnels de l'Égypte ancienne.

L'ouvrage vise à fournir une vue d'ensemble des corpus et des pratiques de graffiti en Égypte ancienne, allant de l'art rupestre prédynastique dans le désert oriental aux inscriptions hiératiques dans les tombes de Moyenne Égypte, en passant par les signatures démotiques du temple de Karnak. Un ensemble de spécialistes présentent des données primaires provenant de trois environnements différents – les déserts, les tombes et les temples – suivant des lignes d'enquête communes, qui visent à aller au-delà du seul contenu textuel ou iconographique et à examiner de plus près le fonctionnement des graffiti.

En conséquence, ce livre étudie l'interaction entre les inscriptions et les images secondaires, l'espace dans lequel elles étaient intégrées et les publics auxquels elles étaient destinées. Malgré la diversité inhérente à la nature des graffiti, des voies communes et des fils de discussion partagés émergent une fois que ces inscriptions sont considérées comme des objets matériels et des pratiques socioculturelles.


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BiEtud180.pdf (0 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 180
ISBN 9782724709605
2022 IFAO
384 p.
48 (2400 EGP)

De la cacophonie à la musique
La perception du son dans les sociétés antiques

Les hommes et les femmes de l’Antiquité entendaient-ils comme nous ? Étaient-ils sensibles à certaines sonorités plutôt qu’à d’autres ? Ces simples questions nous rappellent que les sons et leurs interprétations sont inscrits dans des constructions culturelles, à tel point que la définition même de la cacophonie et de la musique, du bruit et du silence, change en fonction des époques et des contextes. L’historicité de ces notions est au cœur de l’ouvrage qui se propose, pour l’Égypte, l’Orient, les mondes grec et romain antiques, de décrypter les perceptions acoustiques des Anciens en cherchant à comprendre comment les sons, ou leur absence, deviennent signifiants. Derrière l’ampleur de l’arc chronologique se trouve un objet commun, l’étude du vocabulaire et des expressions qui relèvent du champ sémantique du son. Le lexique est ici analysé dans une démarche historique, nourrie par les questionnements en lien avec l’anthropologie du sonore. Tout au long des diverses contributions de ce volume, le lecteur est invité à se mettre à l’écoute des mots des Anciens. Cette approche au plus près des discours antiques a le mérite de nous révéler toute la complexité des valeurs sociales, politiques et religieuses dont les sons sont porteurs.

Did the men and women of antiquity hear as we do? Which sonorities were particularly significant to them? These simple questions remind us that sounds as well as their possible interpretations are embedded in cultural constructions, so that the definitions of cacophony and music, of noise and silence, vary both over time and from one context to another. The historicity of such ideas is at the heart of this book, which explores the ways in which sounds or their absence became meaningful in the ancient Eastern, Egyptian, Greek and Roman worlds. Behind the sweeping chronological arc lies a common objective, the study of terms and expressions related to sounds. This book analyzes this verbal corpus with an historical approach influenced by the anthropology of sound. The papers collected here invite the reader to listen carefully to ancient words and, by focusing on ancient discourses, grasp the complexity of social, political and religious values carried by sounds in particular settings.


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BiEtud179.pdf (45 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 179
ISBN 9782724709582
2022 IFAO

52 (2600 EGP)

Nomes et toparchies en Égypte gréco-romaine
Réalités administratives et géographie religieuse d’Éléphantine à Memphis

Unités régionales et administratives, les nomes et toparchies découpaient l’Égypte ptolémaïque et romaine en une multitude de régions et districts permettant son contrôle total par l’État. Ce système, utilisé au plus tard dès l’Ancien Empire, a connu d’importantes modifications tout au long de l’histoire du pays. Toutefois, les remaniements semblent encore s’intensifier durant la période gréco-romaine.
Cet ouvrage propose d’analyser le découpage territorial de l’Égypte, entre Éléphantine et Memphis, et ses fluctuations dès le début du IIIe siècle av. J.-C., jusqu’à la fin du IIIe siècle apr. J.-C., au moment où les réformes de Dioclétien modifient encore le système. Parallèlement à cette étude du découpage administratif, la géographie religieuse présentée dans les listes et processions de nomes de cette époque tardive est examinée en détail afin de mettre en évidence les influences réciproques entre ces deux modes de perception du paysage égyptien. Les interactions constatées dans cette étude, même minimes, permettent de nuancer la fossilisation de la géographie sacerdotale et de revenir ainsi sur un lieu commun en égyptologie qui soutient que la distinction est de mise entre ces deux géographies, en particulier pendant les époques ptolémaïque et romaine.

Regional and administrative units, nomes and toparchies divided Ptolemaic and Roman Egypt into a multitude of regions and districts, allowing the total control of the state over the land. Used since at least the Old Kingdom, this system has undergone important changes throughout the history of the country. However, the pace and nature of the remodelling seem to intensify during the Greco-Roman period. 
This book analyses the territorial division of Egypt, between Elephantine and Memphis, and its fluctuations from the third century BC to the end of the third century AD, when the reforms of Diocletian changed the system again. In parallel to the study of the country's administrative division, the religious geography outlined in the nomes lists and processions of this late period is investigated in detail in order to highlight the reciprocal influences between these two modes of perception of the Egyptian landscape. The interactions observed in this study, even minimal ones, make it possible to nuance the fossilisation of priestly geography and thus to reconsider the traditional Egyptological cliché which claims that a strong distinction is to be made between these two geographies, especially during the Ptolemaic and Roman eras.


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BiEtud178.pdf (190 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 178
ISBN 9782724708417
2021 IFAO
847 p.
80 (4000 EGP)

Questionner le sphinx
Mélanges offerts à Christiane Zivie-Coche

Cet ouvrage présente les contributions scientifiques de quarante-trois auteurs réunis pour fêter Christiane Zivie-Coche. Titulaire de la Direction d’études « Religion de l’Égypte ancienne » à la Section des Sciences religieuses de l’École pratique des hautes études, à Paris, de 1992 à 2015, Christiane Zivie-Coche a marqué de son empreinte les études égyptologiques en ce domaine et formé plusieurs générations d’égyptologues. Également active sur le terrain, de Louqsor à Tanis, en passant par la région memphite, elle a publié des études fondamentales sur des sujets aussi variés que Giza au second et au premier millénaires av. J.-C. ou les théologies thébaines tardives, pour n’en citer que quelques-uns. Anciens étudiants, collègues et amis - parfois les trois -, égyptologues, hellénistes, historiens des religions, toutes et tous ont souhaité rendre ici hommage à la science de la récipiendaire et à sa générosité, dans la recherche comme dans la vie. Les articles abordent les thèmes de prédilection de Christiane Zivie-Coche, la religion égyptienne, bien sûr, sous toutes ses formes et à toutes les époques, mais aussi la royauté, la géographie, l’histoire des époques tardives et l’historiographie ; la variété des sujets traités fait écho à l’amplitude de ses curiosités.

This book presents the scientific contributions of forty-three authors gathered in order to celebrate Christiane Zivie-Coche. Holder of the chair of Egyptian religion at the École pratique des hautes études, Section des Sciences religieuses, in Paris, from 1992 to 2015, Christiane Zivie-Coche left her mark on Egyptological studies in this field and trained several generations of Egyptologists. Also active in the field, from Louqsor to Tanis, via the Memphite area, she has published fundamental studies on subjects as varied as Giza in the second and first millennium B.C. or late Theban theologies, to name but a few. Former students, colleagues and friends - sometimes all three - Egyptologists, Hellenists, historians of religions, all wished to pay tribute here to the science of the recipient, and to her generosity, in research as in life.The articles address Christiane Zivie-Coche's favorite themes, Egyptian religion, of course, in all its forms and at all times, but also kingship, geography, the history of the Late Period and historiography; the variety of topics covered echoes the breadth of her curiosities.


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BiEtud176.pdf (40 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 176
ISBN 9782724708172
2020 IFAO

52 (2600 EGP)

Money Rules !
The Monetary Economy of Egypt, from Persians until the Beginning of Islam

Le monnayage de l’Égypte ancienne est-il si original ? Après son adoption tardive au ve siècle av. J.-C., en argent d’abord, puis en or et en bronze, la monnaie s’est diffusée dans le pays alors que les Ptolémées instauraient un système monétaire fermé. Elle est rapidement devenue un objet de la vie quotidienne, utilisée aussi bien par les pauvres que par les riches, bien que dans des cadres différents. D’un côté, la production, l’iconographie et la circulation de ces pièces offrent de précieux éléments de compréhension sur leur rôle dans la société ; de l’autre, les textes fournissent de nombreuses données sur leur utilisation dans les banques, pour le prélèvement des taxes ou pour des prêts. Ce livre réunit ces informations pour produire une vision plus étendue de l’utilisation de la monnaie de l’époque perse aux premiers temps de l’Islam. Quelques incursions en dehors du pays permettent également de replacer les données égyptiennes dans le cadre plus général du bassin méditerranéen et de questionner ce qui a été décrit comme L’exception égyptienne.

What makes Egyptian coinage so special? After its late adoption in the 5th century BC, first silver, then gold and then bronze coins, spread over the country as the Ptolemies imposed a closed monetary system. It soon became an everyday life object, used by the poor and the wealthy, though for different purposes. On one side, the production, the iconography and the circulation of coins are precious to understand their status in the society; on the other side, texts give numerous data on its use in the banks, for tax, for loans. This book aims at reuniting this data to offer a broader view of the use of coinage from the Persian Period to the beginning of Islam. Some insights from outside Egypt enable comparison of this data with other places, to rethink the position of coinage in Egypt, and to question what has been described as L’exception égyptienne.


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BiEtud175.pdf (22 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 175
ISBN 9782724708219
2020 IFAO

52 (2600 EGP)

Regressus ad uterum
La mort comme une nouvelle naissance dans les grands textes funéraires de l'Égypte pharaonique

Le présent ouvrage, issu de la thèse de doctorat de l’auteure, vise à démontrer le caractère essentiel du référent de la naissance dans les croyances funéraires de l’Égypte pharaonique, ainsi que les modalités de sa mise en œuvre. Les grands corpus funéraires égyptiens, depuis les Textes des Pyramides jusqu’aux Livres de l’au-delà du Nouvel Empire, sont riches d’allusions à une destinée post mortem envisagée comme une seconde naissance, calquée plus ou moins fidèlement sur le processus biologique de la première. Roi ou particulier, le mort est porté en gestation par une ou plusieurs mères divines, puis est remis au monde dans l’au-delà, son cordon ombilical est coupé, il est lavé, allaité et soigné à l’image d’un nouveau-né. À ces aspects pragmatiques se mêlent de nombreux éléments mythiques, le modèle biologique étant parfois largement réinterprété, ce qui témoigne de l’interpénétration du plan individuel et du domaine cosmique. Grâce à ce procédé cyclique, non seulement le défunt accède à l’autre monde, mais il y est aussi vivant éternellement.

This work, stem from a doctoral dissertation, aims at demonstrating that referring to birth and its practical modalities is an essential aspect of Ancient Egypt’s funerary beliefs. From the Pyramid Texts to the books of the afterlife in the New Kingdom, funerary writings of Egypt are full of allusions to post mortem fate viewed as a second birth, which imitates more or less precisely the biological process of the first. Be he king or an ordinary man, the dead is carried in gestation by one or several divine mothers and is born again in the afterworld;  there,  his umbilical cord is cut, he is washed, fed and cared for like a newborn child. Numerous mythical elements join the purely practical ones, thus reinventing the biological model and showing the intermingling of both the worldly and the cosmic levels. Thanks to this cyclic process, not only does the deceased access the hereafter, but he is also eternally alive there.


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BiEtud174.pdf (17 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 174
ISBN 9782724708196
2020 IFAO

45 (2250 EGP)

L'occupation humaine dans le delta du Nil au Ve et IVe millénaires
Approche géoarchéologique à partir de la région de Samara (delta oriental)

Le delta du Nil est à la fois le produit d’une histoire longue, celle de sa géologie, et d’une histoire plus courte, celle qui, des premières communautés agricoles jusqu’à nos jours, a vu l’homme aménager et façonner le paysage. Dans un environnement aussi mobile, l’occupation humaine à l’époque pré- et protodynastique (les ve et ive millénaires) est ici envisagée dans le contexte des phénomènes naturels qui ont permis l’anthropisation du milieu, mais aussi, inversement, gommé toute trace de cette implantation au fil des siècles. Les zones habitables sont très rares dans le delta égyptien. En s’appuyant sur une étude de cas effectuée dans la région de Samara, plus particulièrement sur le site archéologique de Kôm el-Khilgan, on peut proposer une analyse détaillée d’un site de gezira – le type d’établissement le plus courant dans la région. À partir d’une application géo-archéologique combinant les méthodes de l’archéologie et de la géomorphologie, ce travail vise à resituer la localité dans son environnement naturel et son contexte archéologique, puis à élaborer un modèle de l’occupation humaine du territoire. On peut dès lors envisager, à une autre échelle – celle de la région, puis du delta dans son ensemble –, une analyse spatiale des sites, en considérant les problèmes liés à l’approvisionnement en matières premières, leur intégration dans des réseaux hiérarchiques, ainsi que la place qu’ils ont occupée dans les échanges avec les régions périphériques et le premier commerce égyptien.

The Nile Delta was born from both its long geological history and its shorter human one, from the first agricultural communities up to present times during which Man arranged and modelled the landscape. In such a mobile environment, human occupation during the Predynastic and the Early Dynastic period (5th and 4th millennia BC) is considered in the context of natural phenomena which allowed the anthropisation of the territory, but which also erased any trace of the settlements over the last centuries. Habitable areas are very rare in the Nile Delta. Using a case study carried out in the Samara area, more particularly on the Kôm el-Khilgan archaeological site, we propose an analysis of a gezira site, the most common kind of settlement in Lower Egypt. It opens up new perspectives for the space analysis of the sites, considering the questions related to the supply of raw materials, the integration of the localities in different hierarchical networks and the place the sites occupied in the exchanges with the neighbouring areas and in the first Egyptian trade.


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BiEtud173.pdf (110 Mb)
Version pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 173
ISBN 9782724708134
2020 IFAO

73 (3650 EGP)

Recherches sur la statuaire royale de la XIXe dynastie

Cet ouvrage constitue la synthèse de la recherche sur la statuaire royale de la XIXe dynastie dont le catalogue a paru en ligne en 2019. Le présent volume regroupe les résultats des observations sur les statues réparties par types. Un premier chapitre expose le nombre de statues par règne et la fréquence des types auxquels elles correspondent, y compris les statues remployées sous la XIXe dynastie et celles qui lui sont attribuées. 
Les chapitres suivants condensent l’évolution des types de statues en suivant celle de leurs costumes, coiffures et attributs, leur fréquence dans les groupes statuaires, mais aussi des représentations en deux dimensions de ces statues et leurs parallèles dans des scènes rituelles. 
L’examen mené permet d’établir la place qu’occupe chaque type de statue dans un temple et donne lieu à un essai d’interprétation de sa fonction dans l’ensemble du mobilier du temple. 
Il se poursuit par une synthèse des provenances, dimensions, matériaux et techniques, une autre consacrée à l’accoutrement et, enfin, une présentation récapitulative du style et de l’iconographie, assortie de notices sur les critères de datation.
Une conclusion résume l’état des observations en retraçant le parcours royal à travers les types statuaires dans les parties correspondantes du temple imaginaire. 

This publication is a synthesis of research on the royal statuary of the Nineteenth Dynasty. It accompanies the catalogue of these statues that appeared on line in 2019. The present volume contains the results of observations on the royal statues, which are presented by type. 
The first chapter presents the statues by reign and by the types of statues within each reign, including statues reused by kings of the Nineteenth Dynasty as well as ones attributed to them. The succeeding chapters follow the evolution of statue types alongside the development of costume, coiffure and attributes. The frequency of these features in group statues and in two dimensional representations as well as their parallels in ritual scenes are also studied. The investigation defines the position of each type of statue in the temple and ends with an attempt to understand the role of each statue type within the temple furniture.
The next chapters deal with provenances, dimensions, materials, and techniques of the statues, followed by those on the accessories, and finally the style and the iconography are discussed, accompanied by comments on dating criteria.  
A general conclusion summarizes these observations, and traces the itinerary of the king through a model temple according to the corresponding statue types. 


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BiEtud140_art_13.pdf (0.17 Mb)
Extrait pdf de l’ouvrage :
Bibliothèque d’étude 140
2005 IFAO
13 p.
10 (500 EGP)

La dépendance rurale en Babylonie (VIIe-IVe siècles av. J.-C.)

Mots-clés: métayage, oblat, serf, temple de Šamaš, ṣâbû, laboureur-ikkarû