Il n’est pas impossible que ce nom doive être lu Ỉḫj šrj. De plus, la correspondance exacte entre les titres de cet homme et celui de son père avec les deux père et fils homonymes de l’inscription 103 -ici le fils est seulement nommé Ỉḫj- du Ouadi Hammamat, laissent fortement penser qu’il s’agit, dans ces deux inscriptions, des mêmes personnes. Ceci renforcerait l’idée que ce nom soit à lire Ỉḫj šrj plutôt que Ỉḫj wr. Si c’est bien le cas, cette inscription pourrait être datée du règne de Pépy Ier, peut-être même aux alentours du premier jubilée de Pépy Ier, puisque le fils du chancelier du dieu Ỉḫj n’apparaît, dans les inscriptions du Ouadi Hammamat, qu’à partir du heb-sed de Pépy Ier.